Le ton aura eu un certain charme non ? Les jours qui s'écoulent, les fêtes qui arrivent, l'étau de mon désespoir qui se resserre de jour en jour. Les questions existentielles autour de la binouze "est ce que ce goût me rappelle quelque chose ?" Ou "Q'est ce qui à précédé mon envie de boire ? L'envie de baiser ou l'envie d'acheter une cassette vidéo ?" Non je déconne, ce n'était pas aussi profond. Dommage que je n'ai pas été consciencieux pour la fin. Pas de 24 binouzes malheureusement, même si 24 on bien été bues. Quand on déménage un 27, on fait passer Noël au second plan. Désolé Jésus, encore un dossier contre moi lorsqu'on se verra. Mais j'ai eu de la joie à écrire ces chroniques des bières de la fin de 2016. Cette putain d'année qui se terminait enfin. J'aurais voulu boire jusqu'à oublier tout de cette année à la con, plus déplorable et glauque que les dix dernières au moins. Mais pas possible de me souvenir des dernières bières désolé.... Je l'ai aies bues c'est sur ! Et j'ai d les boire comme les autres, dans mon canapé, devant un film ou un livre en main, en train de penser aux plus petits détails de ce breuvage pour en parler ensuite ici, dans ce blog. Que dire de plus ? Tout ça pour expliquer que je n'ai pas même plus les noms de ces dernières bières, donc pas de texte débile sur ce que j'en pense, sur ce que ça m'évoque, rien.... rien de rien... Juste moi qui décide presque trois mois après, de finir, de clôturer ce blog des binouzes bues in 2016.
Comme si il y avait quelqu'un qui était tombé sur ces textes...
Si il y a quelqu'un qui lit ces textes, qui en a lu au moins quelques extraits, saches que si tu existes, Homme, femme, vieux, jeune, extra-terrestre.... Envoie moi. un mail, je m'engage à t'offrir une bière de ton choix, dans un bar de ma sélection.
Pas de bières du 24 décembre donc, mais une promesse pour conclure :
L'année prochaine je....
Vous avez comprit. Pas besoin de vous faire un dessin; (enfin, si quelqu'un m'entend).
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